Bien que les effets du changement climatique sur la propagation des maladies à transmission vectorielle, hydrique et infectieuse soient bien établis ailleurs, le Togo ne disposait pas encore d’une évaluation concluante de sa vulnérabilité. En 2019, le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, avec le soutien du projet ProSanté de la GIZ, a analysé les impacts des risques climatiques sur le risque de paludisme, de méningite et d’infections respiratoires. Avec le soutien du consortium EPOS/adelphi, une étude nationale quantitative et qualitative de neuf mois a été réalisée. La méthodologie de l’évaluation est basée sur le guide de référence sur la vulnérabilité.
